SUPERVISION

La supervision s’adresse à tous les professionnels de la relation d’aide,
tels que les psychologues, les psychothérapeutes, mais aussi les coachs, les assistant(e)s sociaux et tous les acteurs/actrices du soin.

Les thérapeutes sont aussi humains que leurs patients.
Ils sont exposés au risque d’un contre-transfert épineux ou d’une situation complexe, une supervision s’avère précieuse.

Ensemble, dans la bienveillance, nous ouvrons un espace individuel ou collectif de parole et d’élaboration pour vous, professionnels (.les)désireux de réfléchir sur vos pratiques et d’approfondir votre réflexion en portant un autre regard sur votre fonctionnement professionnel au sein de l’institution et/ou dans votre exercice en libéral.

Ensemble, nous élargissons votre capacité de praticien (.ne) à vivre émotionnellement et intellectuellement des situations complexes.
Pour vous accompagner, je me fais veilleuse, chercheuse et transmetteuse.
Je m’assure de votre bien-être.

Alain Delourme, psychologue clinicien, docteur en psychologie, formateur, superviseur de praticiens et co-auteur de La Supervision en psychanalyse et en psychothérapie (Dunod, 2011), explique la raison :
« Chacun a des zones de clairvoyance ou de cécité, de compétences ou d’incompétences. Le superviseur est là pour aider le thérapeute à y voir plus clair, à penser, à comprendre, et à mieux gérer la situation. »
« Le supervisé peut aborder en séance une situation thérapeutique qui l’interroge, tout comme il peut faire le choix de parler d’une difficulté personnelle qui survient dans le cadre de sa profession. Par exemple, si un patient sur deux l’énerve, on peut penser que la difficulté ne provient pas des patients, mais du thérapeute lui-même »

Dans une visée de formation professionnelle continue et progressive, j’invite à permettre l’articulation du travail à un triple niveau individuel, collectif et institutionnel.

Les supervisions peuvent aussi se conduire en téléconsultations.

Espace thérapeutique